jeudi 30 novembre 2006

Journée mondiale de lutte contre le sida



1er décembre 2006

AIDES continue son combat contre l’exclusion des
personnes séropositives ! En savoir + (click sur "Journée mondiale de lutte contre le sida"

Seb&Fred - Florent Thévenot (interview)


Florent Thévenot - Photographie Jean Philippe Raibaud (copyrights 2006)

Découvrez le "fabuleux blog" de Seb&Fred

http://www.parisianboys.com/

Retrouvez l'interview de Florent ainsi que quelques
derniers clichés pris il y a quelques jours seulement
en exclusivité sur "http://www.parisianboys.com/"

A bientôt


Jean Philippe

mercredi 29 novembre 2006

KARL LAGERFELD



"KARL LAGERFELD" - Photographies Jean Philippe Raibaud (c) 2006

La mode aime la musique, IKKS, Nickel, tous sortent leurs compilations. C'est au tour de M. Chanel de sortir la sienne. Karl Lagerfeld a réuni sur deux cd les chansons qu'il préfère. Ses goûts musicaux vont donc de Minotor Shock à Sterolab en passant par Joakim.
Le créateur en noir et blanc vous présente ainsi, en collaboration avec le magazine Vogue,
« Les musiques que j'aime », chez ULM au prix de 22.49 euros

PETER LINDBERGH



Voilà un cadeau unique et de qualité à offrir en cette période de fêtes de fin d'années. "Untitled 116" est le nouveau livre du photographe Peter Lindbergh. Cet ouvrage haut de gamme rend hommage à cent seize femmes vues par l'oeil aiguisé et expert de l'artiste. Icônes du monde de la mode, du cinéma ou de la musique, connues ou inconnues, elles sont classées par ordre alphabétique. Les clichés de ces modèles datent de 1983 à 2004 et dressent une galerie impressionnante : Sharon Stone, Madonna, Aretha Franklin, Jennifer Lopez, Jeanne Moreau, Catherine Deneuve, Gwyneth Paltrow, Uma Thurman, Charlotte Rampling. Les commentaires sont des textes littéraires choisis par Peter Lindbergh lui-même. De Baudelaire à Marguerite Duras, leurs mots sont empruntés pour rendre ce livre à la fois poétique et magnifique.

"Untitled 116", Peter Lindbergh, éditions Schirmer/Mosel, 119 €

LE SYNDROME DE LAZARE


Un magnifique hymne à l'amour sur fond de Caravage.
Quand un dermatologue et un anesthésiste unissent leur talent littéraire, leur goût pour l'art et leur vécu de médecins confrontés à l'émergence du sida, cela donne un magnifique premier roman empreint d'humanité.
Diane est mariée à Peter. Un mariage d'amour troublé par la bisexualité de Peter. En dépit de ses convictions religieuses, Diane ferme les yeux sur les aventures extraconjugales de son mari. Jusqu'au jour où Fabio, un écrivain italien, entre dans leur vie. Là, il ne s'agit plus seulement de désir mais aussi de passion amoureuse. Blessée à vif, Diane refuse de partager et quitte Peter.
Trois ans plus tard, Peter a succombé au sida. Il a demandé à Diane de vider leur appartement. Une tâche pénible. Diane se retrouve confrontée à ses souvenirs. Elle est sur le point d'épouser Hubert, un homme sans fantaisie. Mais elle rencontre Gabriel, bisexuel et malade lui aussi. Quel est le choix qui lui convient ?
Michel Canesi et Jamil Rahmani parlent d'amour dans leur roman. L'amour entre un homme et une femme, entre deux hommes. Un sentiment fort, empreint de désir et dénué de toute vulgarité. Leurs personnages sont des esthètes, amoureux d'art. Des esprits libres que le sida, fraîchement découvert, va faucher en plein vol. Les quatre mains parlent aussi d'amitié et de dignité. Quand l'espoir de guérir est interdit, qu'est-il possible d'accepter ?

Ariane Schwab

Le syndrome de Lazare
de Michel Canesi Jamil Rahmani (éditeur : Editions du Rocher)
Paru le 16/11/2006

vendredi 24 novembre 2006

DHAFER YOUSSEF





A ECOUTER....... bien plus que de la musique,
un véritable voyage intérieur.

Dhafer Youssef est un joueur de oud et un chanteur tunisien. Formé à l'école du chant traditionnel, sa musique est enracinée dans la culture sufi, privilégiant ainsi la face poétique de son art. Sa voix fait résonner un chant profond qui donne le frisson et touche l'âme. Mais la musique qu'il nous offre est ouverte à d'autres cultures, mélange vivant entre un orient ancestral et un occident improvisé, sa voix et son jeu de oud ont su croiser avec succès les chemins de musiciens comme Mino Cinelu, Paolo Fresu, Bill Laswell, Nils Pëter Molvaer, Markus Stochausen, Renaud Garcia-Fons, Nguyen Le, Bugge Wesseltoft, Jon Hassell, ….

DHAFER YOUSSEF
"DIVINE SHADOWS"

DHAFER YOUSSEF
"DIGITAL PROPHECY"

INDISPENSABLE!!

jph

PINKTV



Retrouvez moi au mois de Janvier 2007 sur PinkTV
dans l'émission " Le Débat" animé par Alex Taylor
le thème : "le culte du Corps".

A bientôt

Jp

Les Catherinettes au Théâtre des Champs Elysées









jeudi 23 novembre 2006

DAVID LELAIT



A lire..... rien que la vérité.......... une pudeur......... une force....
un témoignage d'amour.

Poussière d’homme est une parole d’amour, d’homme à homme, dans un océan de pertes et de chagrins. On devrait tous pouvoir, rien qu’un instant, se congédier de nos défunts… Ce récit est le rêve fou de ces adieux, la mise en mots de l’insoutenable et éternelle absence, rien qu’un supplément d’amour lorsqu’on craint que la douleur nous précipite dans la folie.
extrait :

"Ce dimanche 3 avril, au soir, tes jours d’homme m’ont filé entre les doigts. Au presque commencement de ma vie, je t’ai perdu toi avec qui je voulais la finir. Nous avions oublié d’être mortels, le temps nous a rattrapés… La voix blanche et la colère noire, j’ai eu beau t’appeler, tu étais déjà parti, loin. Ta vie, minuscule tourbillon de quelques lunes et soleils, cessait là de tournoyer, sur le rivage carrelé blanc et glacé d’un hôpital.
Je fais le rêve que l’on nous redonne quelques heures, une poignée d’heures d’une toute petite nuit, ravies entre le tomber d’un jour et le lever d’un autre. Ce ne sera qu’un tout petit moment, le temps de refermer les portes de notre vie ensemble, de nous serrer une dernière fois l’un contre l’autre avant que nos corps volent en éclats. Une minuscule escale pour rattraper ce temps échappé, arraché, et te dire l’après-toi, le sans-toi, la béance à chaque seconde de mes jours, la douloureuse colère depuis ta vie suspendue, l’amour de toi qui me cogne au-dedans.
Tu t’enfonces dans le sofa sans forme du salon, je t’y rejoins et me replie au creux de toi. Ton souffle caresse ma nuque, tes mains me parcourent et m’enserrent. Nous buvons à la coupe de nos lèvres jointes. Ensemble encore quelques heures, le temps de quelques mots, jusqu’aux adieux, quand mes lèvres en seront à lâcher les tiennes pour frôler le vide et embrasser l’absence…"

mercredi 22 novembre 2006

BERNARD PREVEL


Photographie Jean Philippe Raibaud (c)

http://www.pressbook.com/homebook.asp?owner_id=110889&langue_id=1

GRETA GARBO


ZDF © Warner Bros. International Television Distribution

Pour les amoureux du noir et blanc....

dimanche, 10 décembre 2006 à 22:30
Rediffusions :
pas de rediffusions

Marie Walewska
(Etats-Unis, 1937, 107mn, VF)
WDR / MDR
Réalisateur: Clarence Brown
Avec: Maria Walewska Greta Garbo, Napoleon Charles Boyer, Talleyrand Reginald Owen, Le Capitaine D'Ornano Alan Marshall, Le Comte Walewski Henry Stephenson

Quand Napoléon rencontre Greta Garbo, il ne peut que tomber amoureux...
Une adaptation historique très hollywoodienne, illuminée par la présence de l'actrice.

Les photographes Bernd et Hilla Becher



ZDF © Hilla und Bernd Becher


A NE PAS MANQUER /

ARTE
vendredi, 24 novembre 2006 à 22:10
Rediffusions :
pas de rediffusions


Dès la fin des années 1950, Bernd et Hilla Becher se sont attachés à fixer sur images un patrimoine architectural industriel appelé à disparaître. Dans leur atelier de Düsseldorf, ils parlent de leur démarche artistique et documentaire.
Il a fallu attendre la rétrospective que le Centre Georges-Pompidou leur a consacrée, il y a deux ans, pour que le public français découvre l'oeuvre passionnante de Bernd et Hilla Becher. Bernd Becher a d'abord peint et dessiné des bâtiments et des sites industriels qu'il savait voués à l'abandon ou à la destruction. En 1957, il se tourne vers la photographie, car elle apporte plus d'objectivité et de précision à son travail. Il fréquente l'Académie des Beaux-Arts de Düsseldorf et y rencontre Hilla Wobeser. Ensemble, ils entament un travail sur des séries, recensant systématiquement les tours de refroidissement, les châteaux d'eau, les silos, les hauts-fourneaux, les puits de mine, les gazomètres, etc. Ils élaborent un protocole de prise de vues rigoureux, qui est resté le même au fil des décennies : la construction est placée au centre de l'image, le point de vue est légèrement surélevé, personnages, nuages, fumées et ombres sont bannis, la lumière doit être plutôt diffuse. La plupart des sites photographiés, en Allemagne, en France, en Belgique, au Luxembourg et aux États-Unis, ont été radicalement transformés. Mais leur mémoire perdure grâce aux clichés des Becher.

STING




A écouter... MAGNIFIQUE!
jph

Calendrier Pirelli 2007






C'est un classique, une légende, que dis-je, une institution ! Le calendrier Pirelli version 2007 a été dévoilé. Et il y en a pour tous les goûts et tous les âges !
Cette année, ce sont les photographes Ines Van Lamsweerde et Vinoodh Matadin qui ont réalisé les clichés

mardi 21 novembre 2006

ACTU TV - FRANCE 2









FRANCE 2 / " Toute une Histoire" Reservoir Prod - Jean Luc Delarue

Reportage : Shooting avec le mannequin Florent Thévenot

lundi 20 novembre 2006

FRENCH CUT

www.french-cut.com

EXPOSITION PHOTOS


"Haïku" 2005 - Photographie peinte -
Jean Philippe Raibaud (c)

Les oeuvres sont présentées en exclusivité
à l'Hotel de la Trémoille
75008 Paris


http://www.hotel-tremoille.com/

SEBASTIEN


Photographie / Jean Philippe Raibaud

dimanche 19 novembre 2006

LENNY KRAVITZ

JOEY STARR




C’est l’histoire d’un homme, danseur, chanteur, passionné de Hip Hop depuis le départ, pionnier de son art auprès d’un public toujours plus nombreux, moitié orageuse d’un groupe mythique. C’est aussi l’histoire d’une personnalité controversée, dérangeante pour beaucoup. Pas le genre de personne que les parents montrent comme un modèle à leurs enfants, pas l’image d’Epinal que les Pères la Morale aiment à donner en exemple. Et pourtant, c’est aussi l’histoire de l’un des artistes français les plus marquants des 90’s, d’un homme à part, et qui s’en porte bien. L’histoire de Joey Starr, rappeur en son Etat, dont l’album terriblement attendu (au tournant…) a enfin trouvé une place de choix dans les bacs. Gare au Jaguarr.

Ni franchement hip hop, ni en dehors, cet album de Joey Starr reflète en tout point le personnage. Mixité des influences ragga, hip hop, mais aussi biguine, ou références (voire révérences) à la chanson française, la richesse de cet opus réside d’abord dans ses racines, souvent profondes et auxquelles Joey attache une importance certaine. Réalisé par Dadoo (de KDD) dans son ensemble, ce Gare au Jaguarr représente donc un travail d’équipe du BOSS autour du projet de son chef de file. Cette mobilisation des troupes apparaît avec l’omniprésence aux manettes de Dadoo (qui sollicite également son acolyte du Kartel Double Détente, Diesel), mais aussi les prestations au micro de Fat Cap (sur le plutôt réussi « Soldats »), ou du chanteur D.Dy qui pose sa voix soyeuse sur le bon « Chaque Seconde ».

Et puis, puisqu’il s’agit quand même de la question centrale de cet opus, qu’en est-il de Joey Starr ? Décrié après son escapade « Gaz-L » (qui ne figure pas sur la tracklist), enterré par des détracteurs bien trop pressés de l’oublier, et cru perdu dans les méandres de l’indépendance, l’ancien NTM (il fallait bien le mentionner à un moment ou à un autre…) remporte incontestablement son pari, à plusieurs égards. D’abord au micro, où le Jaguar se révèle fidèle à lui-même : grinçant, sans concession, rauque, provocateur mais aussi (et trop s’attendaient sans doute à ne pas retrouver cette facette) parfois plus réfléchi dans son discours, plus responsable qu’on a trop souvent voulu le dire. Introspectif et sincère sur le terrible « Méteque » (qui emprunte la voix de Georges Moustaki pour un bel hommage), Joey Starr n’en demeure pas moins un vrai « Bad Boy » lorsqu’il fustige son ancien comparse, avant de régler ses comptes avec Gab’1 et Naja, ou quand il conte la fable « Gare au Jaguarr ». Osé et réussi, le sequel de « Pose ton gun » nous entraîne dans une ambiance ragga/dancehall aussi endiablée qu’explosive, tout comme le bon « The Jam ». Seule ombre au tableau de ce versant ragga (que Joey Starr nous devait de représenter tant on sait quel plaisir est assorti à cette musique chez lui), « Hot Hot (hâte-toi) » s’avère quelque peu difficile d’écoute, contrairement au délire (c’est bien le mot) « Carnival ».

Plongé dans la cave enfumée du BOSS, l’auditeur ressortira sans doute enivré de cet opus. Mêlant les odeurs de chanvre, de soufre, les tournées de rhum et les tremblements d’enceintes sous les basses épaisses du ragga et du hip hop, Gare au Jaguarr est une reproduction sonore de l’image que nous a toujours renvoyé Joey Starr. Marqué par ses propres goûts musicaux plutôt que par ceux imposés par la tendance (bien que ce mot soit des plus galvaudés), et animé par un Joey qui nous fait partager ses états successifs (souvent des états seconds, il faut l’admettre), ce premier album en solitaire ne constitue pas une suite après son histoire de groupe, mais bel et bien une œuvre personnelle, plus mâture qu’il n’y paraît, et complètement décomplexée. Joey n’est pas celui que vous attendiez, il est pire ou il est mieux, mais vraisemblablement, il s’en fout. A l’heure où tous les albums français se ressemblent rigoureusement pour mieux s’embourber dans les clichés qu’ils subissent et alimentent, un old timer vient démontrer que la musique est une affaire personnelle, et qu’elle n’obéit qu’à l’inspiration. C’est tout à l’honneur de cet artiste dont nous ne devrions être ni les juges, ni les avocats. Seul l’artiste restera, et l’artiste continue de nous surprendre.
-Raging Bull-

LIVRES

A l’occasion de la 17e Journée de soutien aux journalistes emprisonnés, le 23 novembre 2006,
le Studio Harcourt s’est associé à Reporters sans frontières pour créer l’album
«100 Photos de Stars pour la liberté de la presse».
La couverture avec Laetitia Casta : Copyright : STUDIO HARCOURT.
Brigitte Bardot : Copyright STUDIO HARCOURT / MINISTERE DE LA CULTURE-FRANCE
Jean Gabin : Copyright STUDIO HARCOURT / MINISTERE DE LA CULTURE-France
Carole Bouquet : Copyright STUDIO HARCOURT


GUILLAUME DEROUET

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