mercredi 19 décembre 2007
CALENDRIER 2008 JEAN PHILIPPE RAIBAUD
" SHADOWS 2008"
Photographies Jean Philippe Raibaud(c)
(Tirage Prestige limité à 500 exemplaires)
Retrouvez Florent, Hassan, Joffrey et Romain devant l'objectif
du photographe Jean Philippe Raibaud.
POUR COMMANDER LE CALENDRIER /
ENVOYER VOTRE DEMANDE à
jeanphilippe_prod@yahoo.fr
Vous recevrez par mail le bon de commande.
A bientôt!!!
vendredi 14 décembre 2007
Calendrier Pirelli 2008 - Perles d'Orient
© Calendrier Pirelli 2008, Patrick Demarchelier, mois de Novembre, Maggie Cheung
© Calendrier Pirelli 2008, Patrick Demarchelier, mois de Octobre, Du Juan
© Calendrier Pirelli 2008, Patrick Demarchelier, mois de Septembre, Sacha Pivovarova
© Calendrier Pirelli 2008, Patrick Demarchelier, mois de Avril, Gemma Ward
© Calendrier Pirelli 2008, Patrick Demarchelier, mois de Février, Mo Van Dan
mercredi 5 décembre 2007
mercredi 28 novembre 2007
Miss France par le photographe Peter Lindbergh
Making of du shooting à Deauville des 12 Miss France par le photographe Peter Lindbergh sous la direction artistique du magazine Vogue et stylistisque d'Yves St Laurent : Sophie Thalmann, Cindy Fabre, Maréva Galanter, Maréva Georges, Corinne Coman, Mélody Vilbert, Elodie Gossuin, Linda Hardy, Rachel Legrain-Trapani, Sonia Rolland, Alexandra Rosenfeld et Sylvie Tellier.
Tous les profits de la vente iront à l’Association Ela.
jeudi 22 novembre 2007
lundi 19 novembre 2007
MATHIEU DEMARS - Comédien
mardi 13 novembre 2007
CHRISTIAN LACROIX. Histoires de Mode
Photographie Haute Couture CHRISTIAN LACROIX (c) Jean Philippe Raibaud
A l’occasion des 20 ans de la création de la maison de couture Christian Lacroix, Les Arts Décoratifs invitent le créateur à présenter sa première exposition monographique. Christian Lacroix, histoires de mode est une aventure unique, une histoire de la mode du XVIIIe siècle à nos jours racontée de façon libre et subjective par Christian Lacroix lui-même.
C’est un projet de type nouveau où la lecture du patrimoine de la mode, via les collections historiques des Arts Décoratifs, s’associe aux modèles les plus significatifs de la création du couturier. Il en résulte un véritable musée imaginaire, en même temps qu’une interprétation et une passionnante histoire personnelle de la mode.
En s’immergeant dans les collections de mode et textile des Arts Décoratifs, chaque semaine depuis plusieurs mois, le couturier a conçu une exposition où « des lieux, des époques qui n’avaient strictement rien à voir entre eux et qui, frottés comme un silex, font naître une étrangeté (étrange, étranger) d’actualité » (propos de Christian Lacroix recuillis par Olivier Saillard, La Pensée de midi, juin 2000).
Méthodiquement, avec l’exigence et la méticulosité d’un conservateur de musée qu’il aurait souhaité devenir lorsqu’il était étudiant en section Histoire de l’art à Montpellier puis à l’Ecole du Louvre à Paris, Christian Lacroix a examiné chaque vêtement, chaque accessoire conservé en réserve avant d’arrêter sa sélection.
Plus de 400 vêtements, scrupuleusement choisis selon des thèmes ou des techniques que le couturier affectionne et qui ont ponctué l’histoire de la mode, sont mis en regard avec ses propres créations, créant un jeu d’échos et de croisements entre le présent et le passé.
Ainsi les 80 modèles de haute couture de Christian Lacroix illustrent ces différents sujets, les mettent en miroir ou en abîme : les carreaux, les rayures, les pois, le matelassage, le tweed, la couleur... C’est aussi l’occasion pour le couturier de révéler des surprises ressenties devant la découverte de certaines pièces telles les robes des années 30 de Mainbocher entièrement perlées et brodées, qu’il a choisi de montrer. Comme les cartes divisées en trois (tête, tronc, jambes) que l’on peut mélanger à l’infini et avec lesquelles Christian Lacroix dit ne jamais avoir cessé de jouer depuis qu’elles devinrent son jeu favori d’enfant, l’exposition qu’il a conçue s’articule selon trois modes de lecture :
une sélection de vêtements historiques, répertoriés et exposés par connivence plastique, stylistique ou par évocations historiques,
des modèles issus des ateliers Christian Lacroix illustrant vingt ans de création et mettant en évidence les perspectives historiques de la mode évoquées plus haut,
une intervention directe et innovante, mêlant certaines pièces vestimentaires appartenant au musée à celles de Christian Lacroix de manière à inventer une nouvelle silhouette.
Créateur et couturier, réalisateur d’une histoire de la mode subjective et nuancée comme aucun conservateur ou historien de mode ne pourra jamais l’être, Christian Lacroix signe, avec Jean-Michel Bertin, la scénographie en choisissant de faire du vêtement un décor et en imaginant un mannequin particulier pour l’événement.
Quelques phrases d’intention de Christian Lacroix sur le projet :
« Ce n’est pas une rétrospective mais mon regard sur les collections de costumes et de mode des Arts Décoratifs. J’ai sélectionné les pièces les plus inspirantes dont certaines n’ont jamais été montrées, pour raconter au mieux l’histoire de la mode tel un conservateur de musée, que j’aurais souhaité devenir.
Ces vingt ans de couture auront été une autre façon de raconter cette histoire, j’ai choisi les maillons forts parmi une sélection de modèles haute couture de la Maison Lacroix allant de 1987 à 2007. Réunis ensuite par thèmes, du blanc au noir en passant par la couleur, les fleurs, les graphismes, l’ethnique... je les ai associés à des pièces du musée, en allant peut-être jusqu’à mixer-centrifuger les périodes entre elles.
Nous garderons un esprit un peu clinique, non techno, tout simplement technique, un univers de portants, de cintres et de mannequins proches du quotidien, imaginés spécialement pour l’événement, un work in progress, puisque la mode ne s’arrête jamais.
Nous avons tout naturellement essayé d’en disséquer quelques aspects tels des arrêts sur image, entre « exposition » et « collection » en devenir - au sens de « fonds » d’un musée, de « compilation » de vêtements et de « présentation » de Couture.
Il s’agit de démonter/remonter les rouages du processus de création, choisir et assembler/télescoper les ingrédients, les données et les documents du patrimoine avec un regard d’aujourd’hui et le futur immédiat en perspective. »
Christian Lacroix. Mai 2007
lundi 5 novembre 2007
ETIENNE DAHO - L INVITATION
Il en parlait depuis quelque temps. Il l’a fait. En 2007, Etienne Daho présente le premier disque du reste de sa vie. Un truc à part, un neuvième album studio costaud. On sait, depuis Le grand sommeil, synonyme au titre paradoxal de son éveil à la vie d’artiste, que les sentiers battus ne sont pas ceux qu’il affectionne. Depuis plus de vingt ans, Daho est une sorte de cow-boy solitaire qui copine surtout avec les Indiens. L’invitation ne s’inscrit pas dans le renouveau de la chanson française, n’a rien à voir avec les galettes snobinardes publiées par les truqueurs adulés qui ont survécu à la french touch. Lui, continue de croire, tout simplement, qu’on fait un bon disque avec de bonnes chansons, qu’il est conseillé de s’appliquer à enregistrer pour que l’écoute, dans vingt ans, en soit tolérable. Commises avec des complices de toujours (Edith Fambuena, Xavier Géronimi…) et d’autres récemment montés à son bord mais dont le nom rime aussi avec amour, les onze élues de cet album couché sur de la bande entre Londres, Paris, Barcelone et Ibiza, à la croisée magique de toutes ses confluences et influences, invitent (effectivement) à pénétrer son univers par ses millions de pores entrouverts. Multipliant les hommages à la vie (Les fleurs de l’interdit), les confidences sur l’oreiller (Cet air étrange), les déclarations d’humour (Toi jamais toujours) et osant même un poignant message personnel (Boulevard des Capucines), Daho excelle avec des mots qu’il n’a jamais mieux chantés. Enregistrées à Abbey Road, quelques cordes signées Whitaker pleuvent comme poudre aux oreilles sur ce disque à la sincérité insolente, introduit de manière tonique, et qui s’achève avec majesté sur les accords ouverts en grand de Cap Falcon. Un de ceux qu’il a passés le cœur gonflé et le regard fier. Convaincu comme jamais qu’après ça, la vie continuera.
jeudi 25 octobre 2007
Paris Photo 2007
L'Italie invité d'honneur
En dix ans d'existence, Paris Photo s'est affirmé comme la première foire de l'image fixe au monde. Un rendez vous unique qui propose le meilleur des expressions photographiques des origines à nos jours, tout en offrant un panorama prospectif de la création photographique mondiale.
Du 15 au 18 novembre 2007, Paris Photo réunira au Carrousel du Louvre 105 exposants (83 galeries et 22 éditeurs) provenant de 16 pays.
Avec 31 nouvelles participations et un taux de participation étrangère de 77%, la sélection 2007 s'annonce comme l'une des meilleures de son histoire avec un choix rigoureux de 83 galeries internationales, présentant des expositions monographiques, thématiques, ou accrochages collectifs d'oeuvres rares ou inédites de plus de 500 artistes.
Aux côtés des 18 galeries françaises, l'Italie, avec 16 galeries, constituent la première représentation étrangère, suivie par les Etats-Unis (15), l'Espagne (7), l'Allemagne (6) l'Angleterre (5), les Pays-Bas et le Japon (3), la Finlande (2), et une représentation unique pour l'Autriche, la Belgique, le Danemark, la Hongrie, le Luxembourg, le Portugal et l'Afrique du Sud.
Le contemporain gagne en puissance avec la première participation d'enseignes internationales comme Alfonso Artiaco (Naples), Yvon Lambert (Paris / New York), Massimo Minini (Brescia) et le retour des galeries Kicken (Berlin) et Xippas (Paris / Athènes).
La participation record de 22 éditeurs à Paris Photo 2007 (contre 18 en 2006) souligne à nouveau l'envolée du marché du livre photographique.
L'Italie à l'honneur
En 2007, Paris Photo invite l'Italie.
L'occasion de mettre en lumière un exceptionnel patrimoine photographique tout en donnant une vision de la création actuelle du Nord au Sud de la Péninsule.
L'exploration de cette scène photographique s'ouvrira par la présentation en Exposition Centrale de la Collection UniCredit avec une sélection des grandes figures de la photographie italienne des années 1970 aux années 1990, de Luigi Ghirri à Massimo Vitali, réunies autour du thème du paysage.
Le Statement, composé de 8 galeries invitées, proposera un choix d'artistes représentatifs de la scène émergente des années 2000, présenté en expositions personnelles, tandis que la Project Room offrira un panorama de la vidéo contemporaine issue des collections des principales institutions du pays. Enfin, des expositions thématiques ou collectives au sein du Secteur Général compléteront ce tour d'horizon de la création italienne. Le commissariat de l'Italie à l'honneura été confié à Walter Guadagnini, critique d'art et commissaire d'exposition indépendant.
• Artistes en Statement:
Luca Andreoni, Nepente, Milan
Bianco e Valente,VM21, Rome
Botto e Bruno, Alberto Peola, Turin
Lorenza Lucchi Basili, Oredaria, Rome
Raffaela Mariniello, Trisorio, Naples
Maurizio Montagna, Bel Vedere, Milan
Eugenio Tibaldi, Umberto di Marino, Naples
Carlo Valsecchi, Guido Costa, Turin
L'Exposition Centrale, le Statement, et la Project Room bénéficient du soutien d' UniCredit Group, partenaire officiel de Paris Photo 2007, en collaboration avec la Direction générale pour la promotion et la coopération culturelle du Ministère italien des affaires étrangères et de la DARC (Direction des arts et de l'architecture du Ministère italien de la Culture).
mercredi 24 octobre 2007
Abercrombie and Fitch Summer 2007/Back To School 2007
Abercrombie and Fitch Summer 2007/Back To School 2007
Abercrombie & Fitch Back to School
Abercrombie & Fitch Spring 2006
dimanche 21 octobre 2007
CHRISTIAN LACROIX - Musée de la Mode
CHRISTIAN LACROIX - HAUTE COUTURE Photo Jean Philippe Raibaud (c) reproduction interdite
CHRISTIAN LACROIX - HAUTE COUTURE Photo Jean Philippe Raibaud (c) reproduction interdite
EXPOSITION
Christian Lacroix,
histoires de mode
8 novembre 2007 - 20 avril 2008
Le musée de la Mode et du Textile invite le couturier Christian Lacroix à devenir le conservateur et l’historien de mode qu’il ne fut pas, quand étudiant en histoire de l’art et à l’école du Louvre il décida de s’engager dans un travail de création aujourd’hui mondialement reconnu et apprécié. Pendant plus d’un an, le couturier s’est immergé dans les collections de costumes et d’accessoires du musée. Il en résultera une exposition atypique dans laquelle Christian Lacroix nous livre son histoire de la mode, subjective et créative. Les modèles sélectionnés par lui au sein d’un patrimoine riche de plusieurs siècles rencontreront pour quelques mois les créations haute-couture d’un des plus grands noms de la mode française.
mardi 16 octobre 2007
Alberto Giacometti
L'atelier d'Alberto Giacometti
Collection de la fondation Alberto et Annette Giacometti
17 octobre 2007 - 11 février 2008
11h00 - 21h00
Le Centre Pompidou présente, en collaboration avec la Fondation Alberto et Annette Giacometti, une rétrospective inédite de l'œuvre d'Alberto Giacometti (1901-1966). Pour la première fois, toutes les facettes de la création de l'artiste sont présentées en référence à son espace de création, son atelier, et illustrées par des oeuvres rares, souvent invisibles du grand public, comme les plâtres peints ou les fragments des murs de ses trois principaux ateliers de Paris, Stampa et Maloja (Suisse).
« L'atelier d'Alberto Giacometti », en écho au texte de Jean Genet de 1957, développe le sujet de l'atelier dans sa dimension de laboratoire, de lieu rituel, d'espace déterminant dans l'élaboration et la diffusion de l'œuvre. Giacometti et son atelier sont indissociables. Lieu de création et lieu de vie, il est devenu son univers et peu à peu une extension de son être.
L'exposition offre une occasion exceptionnelle de réunir plus de 600 œuvres, dont la majorité provient des collections de la Fondation, complétées par une sélection d'œuvres issues de la collection du Centre Pompidou / Musée national d'art moderne et par quelques prêts de grands musées ou de collections particulières. La richesse des collections de la Fondation permet d'accompagner Giacometti à partir de ses débuts dans l'atelier de son père, en étudiant au plus près sa démarche et les thèmes qui scandent son œuvre. Voir le parcours dans l'exposition...
Rythmée par des archives inédites, l'exposition présente les aspects les plus divers de la production de Giacometti : sculptures, peintures, dessins, objets d'art décoratif, gravures, écrits. Elle fait apparaître la vision très particulière de Giacometti face au réel, mouvant, instable, insaisissable. Comme le souligne le critique David Sylvester, il aspire à « perpétuer l'éphémère ».
En collaboration avec la Fondation Alberto et Annette Giacometti
dimanche 14 octobre 2007
Le photographe Lucien Clergue installé sous la Coupole
Par Par Fabienne FAUR AFP - Mercredi 10 octobre, 19h38PARIS (AFP) -
Sous les roulements des tambours de la Garde républicaine, Lucien Clergue, 73 ans, célèbre pour ses nus et ses paysages de Camargue, est devenu mercredi le premier photographe à siéger sous la Coupole, où il a été installé dans la nouvelle section de photographie de l'Académie des Beaux-Arts.
(Publicité)
Le nouvel académicien, revêtu du célèbre habit vert dessiné pour l'occasion par le couturier Christian Lacroix, Arlésien comme lui, inaugure cette nouvelle section de deux fauteuils, à laquelle a également été élu le 31 mai 2006 Yann Arthus-Bertrand, 61 ans. Ce dernier sera reçu début 2008.
Ami de Picasso et de Cocteau, qui furent les parrains de ses débuts, mais aussi de Saint John Perse ou de Roland Barthes, Lucien Clergue est l'auteur d'une centaine d'ouvrages et de 800.000 photographies, parmi lesquelles ses clichés de nus, de gitans, de paysages de Camargue ou de corridas sont les plus renommés.
Titulaire d'un doctorat de lettres option photographie, il a également fondé en 1969 les Rencontres Internationales de la Photographie d'Arles et enseigné à l'Ecole Nationale de la Photographie de cette ville. Son oeuvre est exposée dans les plus grandes institutions du monde.
Après l'entrée solennelle sous la Coupole, Lucien Clergue a été salué par un discours de réception du peintre et Arlésien Guy de Rougemont, qui a évoqué la "dimension historique" de l'entrée pour la première fois de la photographie à l'Institut.
Le nouvel académicien - qui ne succède à personne et ne prononce donc pas l'éloge traditionnel de son prédécesseur - a ensuite longuement évoqué l'histoire de la photographie, qui est selon lui une "écriture avec la lumière" et une "merveilleuse découverte".
Son discours, commencé en provençal par quelques vers du poète Théodore Aubanel, a été dédié au photographe Willy Ronis, qui n'était pas présent en raison de son grand âge.
Sous la Coupole, l'assemblée d'une trentaine d'académiciens, en habit vert, avait été rejointe par de nombreux amis et invités dont Christian Lacroix, Patrick de Carolis, également Arlésien, Pierre Bergé ou Manitas de Plata.
Le cinéaste et académicien Roman Polanski était également présent au côté de Yann Arthus-Bertrand et de deux "Reines d'Arles", qui avaient revêtu le costume traditionnel.
Le photographe s'est ensuite vu remettre son épée d'académicien par Christian Lacroix lors d'une cérémonie à l'Ecole Nationale Supérieure des Beaux-Arts voisine.
Sur l'habit vert de Lucien Clergue, le couturier a incorporé aux broderies traditionnelles de rameaux d'olivier, des guirlandes dorées issues du "traje de luz" (habit de lumière) des toreros. La doublure de l'habit a été tissée de minuscules têtes de taureaux.
L'épée, également dessinée par Lacroix, a été forgée à Tolède par un fabricant d'épée de toreros et en a la même courbure spécifique. Dédiée "au photographe, à la camargue et aux amis", elle porte sur le pommeau des références aux trois thèmes chers à Lucien Clergue: un violon qu'il pratique depuis son enfance, un taureau pour la Camargue, et un oeil pour la photographie.
L'Académie des Beaux-Arts, qui comprend désormais huit sections, compte 57 membres. Une dizaine de sièges sont vacants.
vendredi 5 octobre 2007
jeudi 4 octobre 2007
LAGERFELD CONFIDENTIEL
Synopsis
«Pour la première fois, Karl Lagerfeld accepte de partager son quotidien et fait confiance à un réalisateur. Il n’y a à ce jour aucune biographie autorisée et les mémoires que rédigerait M. Lagerfeld restent parfaitement secrètes.
Après trois ans de travail et au fil de plus de trois cent heures de tournage, Rodolphe Marconi dévoile avec un regard de cinéaste le quotidien de Karl Lagerfeld et l'intimité d'une personnalité restée secrète.»
jeudi 27 septembre 2007
The Golden Age of Couture
Victoria and Albert Museum
Cromwell Road
London SW7
020 7942 2000
www.vam.ac.uk
The Golden Age of Couture:
Paris and London 1947 - 1957
Paris and London 1947 - 1957
The Exhibition
The launch of Christian Dior's New Look in 1947 marked the beginning of a momentous decade in fashion history, one that Dior himself called the 'golden age'. Celebrating the end of war and the birth of a new era, it set a standard for dressmaking and high fashion that has rarely been surpassed.
In Paris, couture houses such as Balenciaga, Balmain and Fath attracted worldwide attention for elegance and glamour. London was renowned for formal state gowns by court dressmakers and impeccable tailoring by designers like Hardy Amies.
The production of couture was important to the prestige and economy of both France and Britain. While traditionally catering for wealthy private clients, the couture houses also sought new markets. As the decade progressed, they created perfumes, opened boutiques and licensed their designs to foreign manufacturers. By the late 1950s, the leading couture houses had become global brands.
Cromwell Road
London SW7
020 7942 2000
www.vam.ac.uk
The Golden Age of Couture:
Paris and London 1947 - 1957
Paris and London 1947 - 1957
The Exhibition
The launch of Christian Dior's New Look in 1947 marked the beginning of a momentous decade in fashion history, one that Dior himself called the 'golden age'. Celebrating the end of war and the birth of a new era, it set a standard for dressmaking and high fashion that has rarely been surpassed.
In Paris, couture houses such as Balenciaga, Balmain and Fath attracted worldwide attention for elegance and glamour. London was renowned for formal state gowns by court dressmakers and impeccable tailoring by designers like Hardy Amies.
The production of couture was important to the prestige and economy of both France and Britain. While traditionally catering for wealthy private clients, the couture houses also sought new markets. As the decade progressed, they created perfumes, opened boutiques and licensed their designs to foreign manufacturers. By the late 1950s, the leading couture houses had become global brands.
mercredi 26 septembre 2007
lundi 24 septembre 2007
THE REST IS SILENCE
mercredi 19 septembre 2007
«Enjoy rugby in the capital of love»
Encore et toujours le Rugby !!!
Des rugbymen gays pour promouvoir le tourisme à Paris!
«Enjoy rugby in the capital of love», titre la campagne, diffusée dans la presse anglaise et le métro de Londres.
Des rugbymen gays pour promouvoir le tourisme à Paris!
«Enjoy rugby in the capital of love», titre la campagne, diffusée dans la presse anglaise et le métro de Londres.
CALVIN KLEIN - Djimon Hounsou
Photos Peter Lindbergh (toutes reproductions strictement interdites)
http://www.peterlindbergh.com/
Making-of de la nouvelle campagne publicitaire, avec l’acteur franco-béninois Djimon Hounsou.
Djimon Hounsou est d’abord The Body, comme on dit chez Calvin Klein, où l’on continue à préférer les images chocs aux longs discours
LE FIGARO
Des poses de dieu grec
En 1982, la campagne de Calvin Klein porte un regard inédit sur l’homme, son corps, sa beauté. « Un Adonis bronzé, quelque peu alangui contre un rocher blanc sur fond de ciel bleu, vêtu en tout et pour tout d’un slip, semblait s’abîmer dans la contemplation de son propre corps, mais il se révéla correspondre à bon nombre de rêves », écrit John de Greef, dans le livre Sous-vêtements aux Editions Bookking, à propos de cette fracture dans l’histoire de la mode masculine et de la communication. À travers ces images shootées en Grèce avec le mannequin Tom Hintnaus, Calvin Klein érotise le corps de l’homme, le transforme en objet de désir avec des poses de dieu grec. L’Amérique pudibonde s’indigne une nouvelle fois des coups publicitaires de ce designer qui, en 1978, est déjà parvenu à vendre un jean à quelque 200 000 exemplaires en une semaine grâce à une campagne sulfureuse avec Brooke Shields. Cela n’empêche pas, au contraire, les ventes des slips blancs griffés de décoller très rapidement.
Des campagnes publicitaires sensuelles
« La campagne de publicité draina la nation américaine vers les rayons des grands magasins, poursuit John de Greef. Les femmes [qui achètent les sous-vêtements de leur mari] projetèrent l’image de cet Adonis de Klein sur celle de leur époux chéri en décrétant que la ressemblance commençait par l’achat d’un slip identique. Quant aux hommes, ils pensèrent que leur succès potentiel résidait dans leurs dessous et considérèrent cette première enveloppe d’un oeil neuf.»
La ligne sera rapidement lancée à l’international, suivie de son pendant féminin deux ans plus tard. En parallèle, le designer multiplie les campagnes sensuelles avec le photographe Bruce Weber pendant plus de dix ans, puis Herb Ritts, David Sims, Peter Lindbergh, Mario Testino, Steven Klein, Terry Richardson… Bref, des pointures devant l’objectif desquelles défilent des mannequins dont la plastique, le sourire, les muscles et les courbes feront fantasmer les foules.
En 1992, la sauvageonne Kate Moss et le beau Mark Wahlberg ne font qu’un dans la nouvelle campagne signée Herb Ritts. Sur certaines images, ils portent des jeans desquels dépasse la ceinture de leur slip imprimée en toutes les lettres du nom de Calvin Klein. Les jeunes générations s’identifient à ce couple, imitent leur dégaine et se ruent plus que jamais dans les magasins en quête d’«un Calvin Klein », terme quasiment passé dans le langage courant pour designer un sous-vêtement blanc.
« Au cours des vingt-cinq dernières années, le marketing et la publicité autour de nos sous-vêtements ont permis de développer une image très sexy de la marque Calvin Klein en général », reconnaît son président, Tom Murry. Pour l’anniversaire de la ligne Underwear et le lancement des modèles Steel (au logo encore plus gros que par le passé), les anciens mannequins dont les abdos et pectoraux ont fait vendre des slips à gogo ont été conviés à New York, la semaine dernière.
La marque en a profité pour présenter son nouvel ambassadeur, l’acteur Djimon Hounsou, sans s’embarrasser de sa filmographie ni de ses prochains tournages. Il est d’abord The Body, comme on dit chez Calvin Klein, où l’on continue à préférer les images chocs aux longs discours.
http://madame.lefigaro.fr/popshow/en-kiosque/721/mode/en-kiosque/15434/32653
http://www.peterlindbergh.com/
Making-of de la nouvelle campagne publicitaire, avec l’acteur franco-béninois Djimon Hounsou.
Djimon Hounsou est d’abord The Body, comme on dit chez Calvin Klein, où l’on continue à préférer les images chocs aux longs discours
LE FIGARO
Des poses de dieu grec
En 1982, la campagne de Calvin Klein porte un regard inédit sur l’homme, son corps, sa beauté. « Un Adonis bronzé, quelque peu alangui contre un rocher blanc sur fond de ciel bleu, vêtu en tout et pour tout d’un slip, semblait s’abîmer dans la contemplation de son propre corps, mais il se révéla correspondre à bon nombre de rêves », écrit John de Greef, dans le livre Sous-vêtements aux Editions Bookking, à propos de cette fracture dans l’histoire de la mode masculine et de la communication. À travers ces images shootées en Grèce avec le mannequin Tom Hintnaus, Calvin Klein érotise le corps de l’homme, le transforme en objet de désir avec des poses de dieu grec. L’Amérique pudibonde s’indigne une nouvelle fois des coups publicitaires de ce designer qui, en 1978, est déjà parvenu à vendre un jean à quelque 200 000 exemplaires en une semaine grâce à une campagne sulfureuse avec Brooke Shields. Cela n’empêche pas, au contraire, les ventes des slips blancs griffés de décoller très rapidement.
Des campagnes publicitaires sensuelles
« La campagne de publicité draina la nation américaine vers les rayons des grands magasins, poursuit John de Greef. Les femmes [qui achètent les sous-vêtements de leur mari] projetèrent l’image de cet Adonis de Klein sur celle de leur époux chéri en décrétant que la ressemblance commençait par l’achat d’un slip identique. Quant aux hommes, ils pensèrent que leur succès potentiel résidait dans leurs dessous et considérèrent cette première enveloppe d’un oeil neuf.»
La ligne sera rapidement lancée à l’international, suivie de son pendant féminin deux ans plus tard. En parallèle, le designer multiplie les campagnes sensuelles avec le photographe Bruce Weber pendant plus de dix ans, puis Herb Ritts, David Sims, Peter Lindbergh, Mario Testino, Steven Klein, Terry Richardson… Bref, des pointures devant l’objectif desquelles défilent des mannequins dont la plastique, le sourire, les muscles et les courbes feront fantasmer les foules.
En 1992, la sauvageonne Kate Moss et le beau Mark Wahlberg ne font qu’un dans la nouvelle campagne signée Herb Ritts. Sur certaines images, ils portent des jeans desquels dépasse la ceinture de leur slip imprimée en toutes les lettres du nom de Calvin Klein. Les jeunes générations s’identifient à ce couple, imitent leur dégaine et se ruent plus que jamais dans les magasins en quête d’«un Calvin Klein », terme quasiment passé dans le langage courant pour designer un sous-vêtement blanc.
« Au cours des vingt-cinq dernières années, le marketing et la publicité autour de nos sous-vêtements ont permis de développer une image très sexy de la marque Calvin Klein en général », reconnaît son président, Tom Murry. Pour l’anniversaire de la ligne Underwear et le lancement des modèles Steel (au logo encore plus gros que par le passé), les anciens mannequins dont les abdos et pectoraux ont fait vendre des slips à gogo ont été conviés à New York, la semaine dernière.
La marque en a profité pour présenter son nouvel ambassadeur, l’acteur Djimon Hounsou, sans s’embarrasser de sa filmographie ni de ses prochains tournages. Il est d’abord The Body, comme on dit chez Calvin Klein, où l’on continue à préférer les images chocs aux longs discours.
http://madame.lefigaro.fr/popshow/en-kiosque/721/mode/en-kiosque/15434/32653
mardi 18 septembre 2007
ROMAIN
CECILIA BARTOLI
Après le succès de ses précédents opus, C. Bartoli revient aux sources du bel canto avec cet album dédié à une grande diva du passé Maria Malibran, «la» Malibran. Depuis toujours, Cecilia voue à Maria Malibran une admiration sans borne. Mezzo soprano comme elle, Maria Malibran, née en 1808, était une figure de génie, très en avance sur son temps. Ce fut une véritable étoile filante, qui mourut à 28 ans en pleine gloire. Elle bouleversa non seulement l’esthétique du chant et de l’art dramatique, mais l’image de l’artiste dans la société : pour la première fois une femme, et de surcroît une musicienne, exerça dans le domaine de l’art et sur l’esprit de ses contemporains une influence qui devait profondément marquer les générations suivantes. Elle fut la première diva de l’histoire de l’opéra. Génie, scandale et mort ! En un album somptueux, haut en couleurs, Cecilia explore le monde de la Malibran, mezzo soprano comme elle, la première icône romantique, la star de l’opéra la plus extraordinaire de son temps, dont nous fêterons en mars prochain le 200ème anniversaire de naissance. Le concept Malibran est prétexte à un voyage musical varié et contrasté. On passe ainsi des beaux jours du bel canto, à quelques curiosités, comme cet air chanté en Français (plage 10), un air de flamenco espagnol, de tyrolienne autrichienne … Cecilia chante en 4 langues dans cet album : italien, espagnol, français, anglais. A l’honneur également, Mendelssohn, pour qui Cecilia a invité le violon superbe de Maxim Vengerov (plage 4). Comme pour ses albums précédents, Cecilia Bartoli aime à faire découvrir des répertoires peu connus : cet album contient huit premières mondiales ! Il propose aussi de grands classiques, comme le superbe «Casta Diva» de Norma (plage 17), ou l’air magnifique de La Somnambule de Bellini (plage 6). Placé sous la direction d’un chef très talentueux, Adam Fischer, à la tête de l’Orchestre de la Scintilla, cet album est le véritable événement discographique de cette rentrée. Selon un récent sondage, «La» Bartoli est la chanteuse classique préférée des Français !
jeudi 6 septembre 2007
Des joueurs du XV de France solidaires avec les séropositifs
A l’occasion de la Coupe du monde de rugby, AIDES et TBWA\Paris saisissent la balle au bond avec une nouvelle déclinaison de la campagne "Si j’étais séropositif".
Frédéric Michalak, Yannick Nyanga et Thierry Dusautoir ont en effet accepté de mêler leur image à la lutte contre les discriminations des personnes vivant avec le VIH/sida. Empruntant le vocabulaire du rugby, chacun décline un message dénonçant les situations vécues par les personnes séropositives.
Frédéric Michalak demande ainsi ‘Est-ce qu’on me traînerait dans la boue si j’étais séropositif ?’, Yannick Nyanga ‘ Est-ce que je me ferais plaquer si j’étais séropositif ?’ et Thierry Dusautoir ‘Est-ce que je serais mis sur la touche si j’étais séropositif ?’. Ensemble, ils nous interrogent : ‘Est-ce qu’on serait dans le XV de France si on était séropositif ?’.
La campagne se ponctue toujours par la signature qui porte l’objectif affirmé de l’ensemble de cette campagne depuis son lancement : C’est le sida qu’il faut exclure, pas les séropositifs.
Réussir à faire disparaître tout ou partie des préjugés qui perdurent depuis plus de 20 ans malgré la meilleure connaissance de la maladie serait en effet une très belle victoire.
Quelques jours avant le coup d’envoi de la Coupe du monde de rugby, vous pourrez voir cette campagne en affichage à Paris, Marseille, Montpellier et Toulouse et dans la presse à partir de début septembre. Elle est également déclinée sous la forme du film de 30 secondes bientôt en ligne.
Enfin, la campagne sera prochainement déclinée sur le net grâce à l'agence X-Prime.
Cette campagne n’aurait pas vu le jour sans le concours de nos partenaires, notamment le photographe Patrick Messina, la production Oursin Films, et l’agence de stars Starlink qui nous ont permis de réaliser cette campagne dans un délai record.
mercredi 5 septembre 2007
Dieux du Stade 2008
Le calendrier 2008 des Dieux du Stade (du Stade Français)
a cette fois été réalisé par Steven Klein.
Cet Américain est un photographe très en vogue. Récemment, il a pris des photos de David et Victoria Beckham qui ont fait le tour du monde. On peut donc compter sur lui pour capturer et sublimer l’essence des grands sportifs.
Dans un tout autre registre, c’est Steven Klein qui suit maintenant la chanteuse Madonna depuis des années. Quand on connaît les changements de look spectaculaires que Madonna opère régulièrement, il faut que Steven Klein soit un grand pour qu’elle lui fasse confiance pour fixer aux yeux du public son apparence.
Enfin, il a réalisé de nombreuses campagnes de publicités pour Calvin Klein, Gucci, Trussardi, Roberto Cavali, Bally, Furla, Air France, Alexander Mac Queen et d’autres.
Un spécialiste des photos provocantes
Cadeau :
Naomi Campbell W Magazine Cover Video by Steven Klein
vendredi 31 août 2007
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