Victoria and Albert Museum
Cromwell Road
London SW7
020 7942 2000
www.vam.ac.uk
The Golden Age of Couture:
Paris and London 1947 - 1957
Paris and London 1947 - 1957
The Exhibition
The launch of Christian Dior's New Look in 1947 marked the beginning of a momentous decade in fashion history, one that Dior himself called the 'golden age'. Celebrating the end of war and the birth of a new era, it set a standard for dressmaking and high fashion that has rarely been surpassed.
In Paris, couture houses such as Balenciaga, Balmain and Fath attracted worldwide attention for elegance and glamour. London was renowned for formal state gowns by court dressmakers and impeccable tailoring by designers like Hardy Amies.
The production of couture was important to the prestige and economy of both France and Britain. While traditionally catering for wealthy private clients, the couture houses also sought new markets. As the decade progressed, they created perfumes, opened boutiques and licensed their designs to foreign manufacturers. By the late 1950s, the leading couture houses had become global brands.
jeudi 27 septembre 2007
mercredi 26 septembre 2007
lundi 24 septembre 2007
THE REST IS SILENCE
mercredi 19 septembre 2007
«Enjoy rugby in the capital of love»
Encore et toujours le Rugby !!!
Des rugbymen gays pour promouvoir le tourisme à Paris!
«Enjoy rugby in the capital of love», titre la campagne, diffusée dans la presse anglaise et le métro de Londres.
Des rugbymen gays pour promouvoir le tourisme à Paris!
«Enjoy rugby in the capital of love», titre la campagne, diffusée dans la presse anglaise et le métro de Londres.
CALVIN KLEIN - Djimon Hounsou
Photos Peter Lindbergh (toutes reproductions strictement interdites)
http://www.peterlindbergh.com/
Making-of de la nouvelle campagne publicitaire, avec l’acteur franco-béninois Djimon Hounsou.
Djimon Hounsou est d’abord The Body, comme on dit chez Calvin Klein, où l’on continue à préférer les images chocs aux longs discours
LE FIGARO
Des poses de dieu grec
En 1982, la campagne de Calvin Klein porte un regard inédit sur l’homme, son corps, sa beauté. « Un Adonis bronzé, quelque peu alangui contre un rocher blanc sur fond de ciel bleu, vêtu en tout et pour tout d’un slip, semblait s’abîmer dans la contemplation de son propre corps, mais il se révéla correspondre à bon nombre de rêves », écrit John de Greef, dans le livre Sous-vêtements aux Editions Bookking, à propos de cette fracture dans l’histoire de la mode masculine et de la communication. À travers ces images shootées en Grèce avec le mannequin Tom Hintnaus, Calvin Klein érotise le corps de l’homme, le transforme en objet de désir avec des poses de dieu grec. L’Amérique pudibonde s’indigne une nouvelle fois des coups publicitaires de ce designer qui, en 1978, est déjà parvenu à vendre un jean à quelque 200 000 exemplaires en une semaine grâce à une campagne sulfureuse avec Brooke Shields. Cela n’empêche pas, au contraire, les ventes des slips blancs griffés de décoller très rapidement.
Des campagnes publicitaires sensuelles
« La campagne de publicité draina la nation américaine vers les rayons des grands magasins, poursuit John de Greef. Les femmes [qui achètent les sous-vêtements de leur mari] projetèrent l’image de cet Adonis de Klein sur celle de leur époux chéri en décrétant que la ressemblance commençait par l’achat d’un slip identique. Quant aux hommes, ils pensèrent que leur succès potentiel résidait dans leurs dessous et considérèrent cette première enveloppe d’un oeil neuf.»
La ligne sera rapidement lancée à l’international, suivie de son pendant féminin deux ans plus tard. En parallèle, le designer multiplie les campagnes sensuelles avec le photographe Bruce Weber pendant plus de dix ans, puis Herb Ritts, David Sims, Peter Lindbergh, Mario Testino, Steven Klein, Terry Richardson… Bref, des pointures devant l’objectif desquelles défilent des mannequins dont la plastique, le sourire, les muscles et les courbes feront fantasmer les foules.
En 1992, la sauvageonne Kate Moss et le beau Mark Wahlberg ne font qu’un dans la nouvelle campagne signée Herb Ritts. Sur certaines images, ils portent des jeans desquels dépasse la ceinture de leur slip imprimée en toutes les lettres du nom de Calvin Klein. Les jeunes générations s’identifient à ce couple, imitent leur dégaine et se ruent plus que jamais dans les magasins en quête d’«un Calvin Klein », terme quasiment passé dans le langage courant pour designer un sous-vêtement blanc.
« Au cours des vingt-cinq dernières années, le marketing et la publicité autour de nos sous-vêtements ont permis de développer une image très sexy de la marque Calvin Klein en général », reconnaît son président, Tom Murry. Pour l’anniversaire de la ligne Underwear et le lancement des modèles Steel (au logo encore plus gros que par le passé), les anciens mannequins dont les abdos et pectoraux ont fait vendre des slips à gogo ont été conviés à New York, la semaine dernière.
La marque en a profité pour présenter son nouvel ambassadeur, l’acteur Djimon Hounsou, sans s’embarrasser de sa filmographie ni de ses prochains tournages. Il est d’abord The Body, comme on dit chez Calvin Klein, où l’on continue à préférer les images chocs aux longs discours.
http://madame.lefigaro.fr/popshow/en-kiosque/721/mode/en-kiosque/15434/32653
http://www.peterlindbergh.com/
Making-of de la nouvelle campagne publicitaire, avec l’acteur franco-béninois Djimon Hounsou.
Djimon Hounsou est d’abord The Body, comme on dit chez Calvin Klein, où l’on continue à préférer les images chocs aux longs discours
LE FIGARO
Des poses de dieu grec
En 1982, la campagne de Calvin Klein porte un regard inédit sur l’homme, son corps, sa beauté. « Un Adonis bronzé, quelque peu alangui contre un rocher blanc sur fond de ciel bleu, vêtu en tout et pour tout d’un slip, semblait s’abîmer dans la contemplation de son propre corps, mais il se révéla correspondre à bon nombre de rêves », écrit John de Greef, dans le livre Sous-vêtements aux Editions Bookking, à propos de cette fracture dans l’histoire de la mode masculine et de la communication. À travers ces images shootées en Grèce avec le mannequin Tom Hintnaus, Calvin Klein érotise le corps de l’homme, le transforme en objet de désir avec des poses de dieu grec. L’Amérique pudibonde s’indigne une nouvelle fois des coups publicitaires de ce designer qui, en 1978, est déjà parvenu à vendre un jean à quelque 200 000 exemplaires en une semaine grâce à une campagne sulfureuse avec Brooke Shields. Cela n’empêche pas, au contraire, les ventes des slips blancs griffés de décoller très rapidement.
Des campagnes publicitaires sensuelles
« La campagne de publicité draina la nation américaine vers les rayons des grands magasins, poursuit John de Greef. Les femmes [qui achètent les sous-vêtements de leur mari] projetèrent l’image de cet Adonis de Klein sur celle de leur époux chéri en décrétant que la ressemblance commençait par l’achat d’un slip identique. Quant aux hommes, ils pensèrent que leur succès potentiel résidait dans leurs dessous et considérèrent cette première enveloppe d’un oeil neuf.»
La ligne sera rapidement lancée à l’international, suivie de son pendant féminin deux ans plus tard. En parallèle, le designer multiplie les campagnes sensuelles avec le photographe Bruce Weber pendant plus de dix ans, puis Herb Ritts, David Sims, Peter Lindbergh, Mario Testino, Steven Klein, Terry Richardson… Bref, des pointures devant l’objectif desquelles défilent des mannequins dont la plastique, le sourire, les muscles et les courbes feront fantasmer les foules.
En 1992, la sauvageonne Kate Moss et le beau Mark Wahlberg ne font qu’un dans la nouvelle campagne signée Herb Ritts. Sur certaines images, ils portent des jeans desquels dépasse la ceinture de leur slip imprimée en toutes les lettres du nom de Calvin Klein. Les jeunes générations s’identifient à ce couple, imitent leur dégaine et se ruent plus que jamais dans les magasins en quête d’«un Calvin Klein », terme quasiment passé dans le langage courant pour designer un sous-vêtement blanc.
« Au cours des vingt-cinq dernières années, le marketing et la publicité autour de nos sous-vêtements ont permis de développer une image très sexy de la marque Calvin Klein en général », reconnaît son président, Tom Murry. Pour l’anniversaire de la ligne Underwear et le lancement des modèles Steel (au logo encore plus gros que par le passé), les anciens mannequins dont les abdos et pectoraux ont fait vendre des slips à gogo ont été conviés à New York, la semaine dernière.
La marque en a profité pour présenter son nouvel ambassadeur, l’acteur Djimon Hounsou, sans s’embarrasser de sa filmographie ni de ses prochains tournages. Il est d’abord The Body, comme on dit chez Calvin Klein, où l’on continue à préférer les images chocs aux longs discours.
http://madame.lefigaro.fr/popshow/en-kiosque/721/mode/en-kiosque/15434/32653
mardi 18 septembre 2007
ROMAIN
CECILIA BARTOLI
Après le succès de ses précédents opus, C. Bartoli revient aux sources du bel canto avec cet album dédié à une grande diva du passé Maria Malibran, «la» Malibran. Depuis toujours, Cecilia voue à Maria Malibran une admiration sans borne. Mezzo soprano comme elle, Maria Malibran, née en 1808, était une figure de génie, très en avance sur son temps. Ce fut une véritable étoile filante, qui mourut à 28 ans en pleine gloire. Elle bouleversa non seulement l’esthétique du chant et de l’art dramatique, mais l’image de l’artiste dans la société : pour la première fois une femme, et de surcroît une musicienne, exerça dans le domaine de l’art et sur l’esprit de ses contemporains une influence qui devait profondément marquer les générations suivantes. Elle fut la première diva de l’histoire de l’opéra. Génie, scandale et mort ! En un album somptueux, haut en couleurs, Cecilia explore le monde de la Malibran, mezzo soprano comme elle, la première icône romantique, la star de l’opéra la plus extraordinaire de son temps, dont nous fêterons en mars prochain le 200ème anniversaire de naissance. Le concept Malibran est prétexte à un voyage musical varié et contrasté. On passe ainsi des beaux jours du bel canto, à quelques curiosités, comme cet air chanté en Français (plage 10), un air de flamenco espagnol, de tyrolienne autrichienne … Cecilia chante en 4 langues dans cet album : italien, espagnol, français, anglais. A l’honneur également, Mendelssohn, pour qui Cecilia a invité le violon superbe de Maxim Vengerov (plage 4). Comme pour ses albums précédents, Cecilia Bartoli aime à faire découvrir des répertoires peu connus : cet album contient huit premières mondiales ! Il propose aussi de grands classiques, comme le superbe «Casta Diva» de Norma (plage 17), ou l’air magnifique de La Somnambule de Bellini (plage 6). Placé sous la direction d’un chef très talentueux, Adam Fischer, à la tête de l’Orchestre de la Scintilla, cet album est le véritable événement discographique de cette rentrée. Selon un récent sondage, «La» Bartoli est la chanteuse classique préférée des Français !
jeudi 6 septembre 2007
Des joueurs du XV de France solidaires avec les séropositifs
A l’occasion de la Coupe du monde de rugby, AIDES et TBWA\Paris saisissent la balle au bond avec une nouvelle déclinaison de la campagne "Si j’étais séropositif".
Frédéric Michalak, Yannick Nyanga et Thierry Dusautoir ont en effet accepté de mêler leur image à la lutte contre les discriminations des personnes vivant avec le VIH/sida. Empruntant le vocabulaire du rugby, chacun décline un message dénonçant les situations vécues par les personnes séropositives.
Frédéric Michalak demande ainsi ‘Est-ce qu’on me traînerait dans la boue si j’étais séropositif ?’, Yannick Nyanga ‘ Est-ce que je me ferais plaquer si j’étais séropositif ?’ et Thierry Dusautoir ‘Est-ce que je serais mis sur la touche si j’étais séropositif ?’. Ensemble, ils nous interrogent : ‘Est-ce qu’on serait dans le XV de France si on était séropositif ?’.
La campagne se ponctue toujours par la signature qui porte l’objectif affirmé de l’ensemble de cette campagne depuis son lancement : C’est le sida qu’il faut exclure, pas les séropositifs.
Réussir à faire disparaître tout ou partie des préjugés qui perdurent depuis plus de 20 ans malgré la meilleure connaissance de la maladie serait en effet une très belle victoire.
Quelques jours avant le coup d’envoi de la Coupe du monde de rugby, vous pourrez voir cette campagne en affichage à Paris, Marseille, Montpellier et Toulouse et dans la presse à partir de début septembre. Elle est également déclinée sous la forme du film de 30 secondes bientôt en ligne.
Enfin, la campagne sera prochainement déclinée sur le net grâce à l'agence X-Prime.
Cette campagne n’aurait pas vu le jour sans le concours de nos partenaires, notamment le photographe Patrick Messina, la production Oursin Films, et l’agence de stars Starlink qui nous ont permis de réaliser cette campagne dans un délai record.
mercredi 5 septembre 2007
Dieux du Stade 2008
Le calendrier 2008 des Dieux du Stade (du Stade Français)
a cette fois été réalisé par Steven Klein.
Cet Américain est un photographe très en vogue. Récemment, il a pris des photos de David et Victoria Beckham qui ont fait le tour du monde. On peut donc compter sur lui pour capturer et sublimer l’essence des grands sportifs.
Dans un tout autre registre, c’est Steven Klein qui suit maintenant la chanteuse Madonna depuis des années. Quand on connaît les changements de look spectaculaires que Madonna opère régulièrement, il faut que Steven Klein soit un grand pour qu’elle lui fasse confiance pour fixer aux yeux du public son apparence.
Enfin, il a réalisé de nombreuses campagnes de publicités pour Calvin Klein, Gucci, Trussardi, Roberto Cavali, Bally, Furla, Air France, Alexander Mac Queen et d’autres.
Un spécialiste des photos provocantes
Cadeau :
Naomi Campbell W Magazine Cover Video by Steven Klein
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