jeudi 25 octobre 2007
Paris Photo 2007
L'Italie invité d'honneur
En dix ans d'existence, Paris Photo s'est affirmé comme la première foire de l'image fixe au monde. Un rendez vous unique qui propose le meilleur des expressions photographiques des origines à nos jours, tout en offrant un panorama prospectif de la création photographique mondiale.
Du 15 au 18 novembre 2007, Paris Photo réunira au Carrousel du Louvre 105 exposants (83 galeries et 22 éditeurs) provenant de 16 pays.
Avec 31 nouvelles participations et un taux de participation étrangère de 77%, la sélection 2007 s'annonce comme l'une des meilleures de son histoire avec un choix rigoureux de 83 galeries internationales, présentant des expositions monographiques, thématiques, ou accrochages collectifs d'oeuvres rares ou inédites de plus de 500 artistes.
Aux côtés des 18 galeries françaises, l'Italie, avec 16 galeries, constituent la première représentation étrangère, suivie par les Etats-Unis (15), l'Espagne (7), l'Allemagne (6) l'Angleterre (5), les Pays-Bas et le Japon (3), la Finlande (2), et une représentation unique pour l'Autriche, la Belgique, le Danemark, la Hongrie, le Luxembourg, le Portugal et l'Afrique du Sud.
Le contemporain gagne en puissance avec la première participation d'enseignes internationales comme Alfonso Artiaco (Naples), Yvon Lambert (Paris / New York), Massimo Minini (Brescia) et le retour des galeries Kicken (Berlin) et Xippas (Paris / Athènes).
La participation record de 22 éditeurs à Paris Photo 2007 (contre 18 en 2006) souligne à nouveau l'envolée du marché du livre photographique.
L'Italie à l'honneur
En 2007, Paris Photo invite l'Italie.
L'occasion de mettre en lumière un exceptionnel patrimoine photographique tout en donnant une vision de la création actuelle du Nord au Sud de la Péninsule.
L'exploration de cette scène photographique s'ouvrira par la présentation en Exposition Centrale de la Collection UniCredit avec une sélection des grandes figures de la photographie italienne des années 1970 aux années 1990, de Luigi Ghirri à Massimo Vitali, réunies autour du thème du paysage.
Le Statement, composé de 8 galeries invitées, proposera un choix d'artistes représentatifs de la scène émergente des années 2000, présenté en expositions personnelles, tandis que la Project Room offrira un panorama de la vidéo contemporaine issue des collections des principales institutions du pays. Enfin, des expositions thématiques ou collectives au sein du Secteur Général compléteront ce tour d'horizon de la création italienne. Le commissariat de l'Italie à l'honneura été confié à Walter Guadagnini, critique d'art et commissaire d'exposition indépendant.
• Artistes en Statement:
Luca Andreoni, Nepente, Milan
Bianco e Valente,VM21, Rome
Botto e Bruno, Alberto Peola, Turin
Lorenza Lucchi Basili, Oredaria, Rome
Raffaela Mariniello, Trisorio, Naples
Maurizio Montagna, Bel Vedere, Milan
Eugenio Tibaldi, Umberto di Marino, Naples
Carlo Valsecchi, Guido Costa, Turin
L'Exposition Centrale, le Statement, et la Project Room bénéficient du soutien d' UniCredit Group, partenaire officiel de Paris Photo 2007, en collaboration avec la Direction générale pour la promotion et la coopération culturelle du Ministère italien des affaires étrangères et de la DARC (Direction des arts et de l'architecture du Ministère italien de la Culture).
mercredi 24 octobre 2007
Abercrombie and Fitch Summer 2007/Back To School 2007
Abercrombie and Fitch Summer 2007/Back To School 2007
Abercrombie & Fitch Back to School
Abercrombie & Fitch Spring 2006
dimanche 21 octobre 2007
CHRISTIAN LACROIX - Musée de la Mode
CHRISTIAN LACROIX - HAUTE COUTURE Photo Jean Philippe Raibaud (c) reproduction interdite
CHRISTIAN LACROIX - HAUTE COUTURE Photo Jean Philippe Raibaud (c) reproduction interdite
EXPOSITION
Christian Lacroix,
histoires de mode
8 novembre 2007 - 20 avril 2008
Le musée de la Mode et du Textile invite le couturier Christian Lacroix à devenir le conservateur et l’historien de mode qu’il ne fut pas, quand étudiant en histoire de l’art et à l’école du Louvre il décida de s’engager dans un travail de création aujourd’hui mondialement reconnu et apprécié. Pendant plus d’un an, le couturier s’est immergé dans les collections de costumes et d’accessoires du musée. Il en résultera une exposition atypique dans laquelle Christian Lacroix nous livre son histoire de la mode, subjective et créative. Les modèles sélectionnés par lui au sein d’un patrimoine riche de plusieurs siècles rencontreront pour quelques mois les créations haute-couture d’un des plus grands noms de la mode française.
mardi 16 octobre 2007
Alberto Giacometti
L'atelier d'Alberto Giacometti
Collection de la fondation Alberto et Annette Giacometti
17 octobre 2007 - 11 février 2008
11h00 - 21h00
Le Centre Pompidou présente, en collaboration avec la Fondation Alberto et Annette Giacometti, une rétrospective inédite de l'œuvre d'Alberto Giacometti (1901-1966). Pour la première fois, toutes les facettes de la création de l'artiste sont présentées en référence à son espace de création, son atelier, et illustrées par des oeuvres rares, souvent invisibles du grand public, comme les plâtres peints ou les fragments des murs de ses trois principaux ateliers de Paris, Stampa et Maloja (Suisse).
« L'atelier d'Alberto Giacometti », en écho au texte de Jean Genet de 1957, développe le sujet de l'atelier dans sa dimension de laboratoire, de lieu rituel, d'espace déterminant dans l'élaboration et la diffusion de l'œuvre. Giacometti et son atelier sont indissociables. Lieu de création et lieu de vie, il est devenu son univers et peu à peu une extension de son être.
L'exposition offre une occasion exceptionnelle de réunir plus de 600 œuvres, dont la majorité provient des collections de la Fondation, complétées par une sélection d'œuvres issues de la collection du Centre Pompidou / Musée national d'art moderne et par quelques prêts de grands musées ou de collections particulières. La richesse des collections de la Fondation permet d'accompagner Giacometti à partir de ses débuts dans l'atelier de son père, en étudiant au plus près sa démarche et les thèmes qui scandent son œuvre. Voir le parcours dans l'exposition...
Rythmée par des archives inédites, l'exposition présente les aspects les plus divers de la production de Giacometti : sculptures, peintures, dessins, objets d'art décoratif, gravures, écrits. Elle fait apparaître la vision très particulière de Giacometti face au réel, mouvant, instable, insaisissable. Comme le souligne le critique David Sylvester, il aspire à « perpétuer l'éphémère ».
En collaboration avec la Fondation Alberto et Annette Giacometti
dimanche 14 octobre 2007
Le photographe Lucien Clergue installé sous la Coupole
Par Par Fabienne FAUR AFP - Mercredi 10 octobre, 19h38PARIS (AFP) -
Sous les roulements des tambours de la Garde républicaine, Lucien Clergue, 73 ans, célèbre pour ses nus et ses paysages de Camargue, est devenu mercredi le premier photographe à siéger sous la Coupole, où il a été installé dans la nouvelle section de photographie de l'Académie des Beaux-Arts.
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Le nouvel académicien, revêtu du célèbre habit vert dessiné pour l'occasion par le couturier Christian Lacroix, Arlésien comme lui, inaugure cette nouvelle section de deux fauteuils, à laquelle a également été élu le 31 mai 2006 Yann Arthus-Bertrand, 61 ans. Ce dernier sera reçu début 2008.
Ami de Picasso et de Cocteau, qui furent les parrains de ses débuts, mais aussi de Saint John Perse ou de Roland Barthes, Lucien Clergue est l'auteur d'une centaine d'ouvrages et de 800.000 photographies, parmi lesquelles ses clichés de nus, de gitans, de paysages de Camargue ou de corridas sont les plus renommés.
Titulaire d'un doctorat de lettres option photographie, il a également fondé en 1969 les Rencontres Internationales de la Photographie d'Arles et enseigné à l'Ecole Nationale de la Photographie de cette ville. Son oeuvre est exposée dans les plus grandes institutions du monde.
Après l'entrée solennelle sous la Coupole, Lucien Clergue a été salué par un discours de réception du peintre et Arlésien Guy de Rougemont, qui a évoqué la "dimension historique" de l'entrée pour la première fois de la photographie à l'Institut.
Le nouvel académicien - qui ne succède à personne et ne prononce donc pas l'éloge traditionnel de son prédécesseur - a ensuite longuement évoqué l'histoire de la photographie, qui est selon lui une "écriture avec la lumière" et une "merveilleuse découverte".
Son discours, commencé en provençal par quelques vers du poète Théodore Aubanel, a été dédié au photographe Willy Ronis, qui n'était pas présent en raison de son grand âge.
Sous la Coupole, l'assemblée d'une trentaine d'académiciens, en habit vert, avait été rejointe par de nombreux amis et invités dont Christian Lacroix, Patrick de Carolis, également Arlésien, Pierre Bergé ou Manitas de Plata.
Le cinéaste et académicien Roman Polanski était également présent au côté de Yann Arthus-Bertrand et de deux "Reines d'Arles", qui avaient revêtu le costume traditionnel.
Le photographe s'est ensuite vu remettre son épée d'académicien par Christian Lacroix lors d'une cérémonie à l'Ecole Nationale Supérieure des Beaux-Arts voisine.
Sur l'habit vert de Lucien Clergue, le couturier a incorporé aux broderies traditionnelles de rameaux d'olivier, des guirlandes dorées issues du "traje de luz" (habit de lumière) des toreros. La doublure de l'habit a été tissée de minuscules têtes de taureaux.
L'épée, également dessinée par Lacroix, a été forgée à Tolède par un fabricant d'épée de toreros et en a la même courbure spécifique. Dédiée "au photographe, à la camargue et aux amis", elle porte sur le pommeau des références aux trois thèmes chers à Lucien Clergue: un violon qu'il pratique depuis son enfance, un taureau pour la Camargue, et un oeil pour la photographie.
L'Académie des Beaux-Arts, qui comprend désormais huit sections, compte 57 membres. Une dizaine de sièges sont vacants.
vendredi 5 octobre 2007
jeudi 4 octobre 2007
LAGERFELD CONFIDENTIEL
Synopsis
«Pour la première fois, Karl Lagerfeld accepte de partager son quotidien et fait confiance à un réalisateur. Il n’y a à ce jour aucune biographie autorisée et les mémoires que rédigerait M. Lagerfeld restent parfaitement secrètes.
Après trois ans de travail et au fil de plus de trois cent heures de tournage, Rodolphe Marconi dévoile avec un regard de cinéaste le quotidien de Karl Lagerfeld et l'intimité d'une personnalité restée secrète.»
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