lundi 11 décembre 2006

JULIETTE GRECO



Dans « Le Temps d'une chanson », elle reprend douze grands classiques de la variété française et internationale.


Sur la pochette du disque, Juliette Gréco s'ajuste les cheveux, large sourire sous le soleil de New York. Derrière sa tête, on voit l'enseigne d'un garage, « Diva ». Cela fait comme un message subliminal : ici l'on n'entendra pas la « grande dame de la chanson française » (l'expression déclenche toujours chez elle un petit rire narquois), mais une artiste dans son jardin de chansons - chansons dont elle rêvait, chansons qu'elle n'avait jamais osées, chansons portées par d'autres interprètes... Cela commence par Utile d'Étienne Roda-Gil, jusqu'à La Chanson de Prévert de Serge Gainsbourg, en passant par Né quelque part de Maxime Le Forestier, et ­Volare, l'énorme classique de la variété italienne. « Une des chansons populaires qui m'ont fait le plus plaisir, dit-elle. Ça me fait rire. »
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